Our Authors

View All

Articles by Tim Gustafson

Soldats de plastique et BGI

Nos deux jeunes fils voulaient une crèche de Noël. Nous en avons donc installé une petite dans leur chambre. Un soir, alors que ma femme les bordait, elle a aperçu de petits soldats de plastiques placés à côté de la crèche. Liam (cinq ans) les y avait disposés pour qu’« ils assurent la sécurité de bébé Jésus ».

Observateur du ciel

Bouleversé par des problèmes au bureau et à la maison, Matt a décidé d’aller faire une promenade à pied. L’air printanier parfumait la soirée. Tandis que le ciel infini passait du bleu sombre au noir, un épais brouillard s’est lentement installé. Les étoiles ont commencé à scintiller, annonçant la levée de la pleine lune à l’Est. Pour Matt, cet instant était profondément spirituel en ce sens qu’il se disait : Il est là. Dieu est là, et il veille sur tout ça.

Signes et sentiments

Je connais un jeune homme qui a l’habitude de demander des signes à Dieu. Il n’y a rien de mal à cela en soi, sinon qu’il tend à rechercher par ses prières la confirmation de ses sentiments. Il priera, par exemple : « Mon Dieu, si tu veux que je fasse X, fais Y, et je connaîtrai ta volonté. »

Notre grand Conquérant

Nous espérons avoir un bon gouvernement. Nous votons, nous servons et nous défendons des causes que nous croyons justes. Les solutions politiques demeurent néanmoins impuissantes à transformer l’état de notre coeur.

Brisé pour Tim ?

Mon travail m’ayant obligé à passer un certain temps loin de chez moi, j’ai assisté aux cultes d’une Église très différente de la mienne. Par exemple, mon Église adoptive célèbre la communion (le repas du Seigneur) lors de chacune de ses rencontres. Ce ne sont pas le pasteur et les anciens qui se partagent la responsabilité de distribuer le pain et le vin, mais les membres de l’Église.

Mes frères et soeurs

Il y a plusieurs années, lorsque l’économie du sud de la Californie a décliné, le pasteur Bob Johnson y a vu non seulement des difficultés, mais également des opportunités. Par conséquent, il a sollicité une rencontre avec le maire de sa ville, à qui il a demandé : « Que peut faire notre Église pour vous venir en aide ? » Le maire en est resté ébahi. Généralement, les gens l’abordaient pour lui demander son aide. Et voilà qu’un ministre du culte lui offrait les services de toute une communauté chrétienne.

Combler le fossé

Lorsqu’un supervolcan entre en éruption – heureusement, c’est extrêmement rare –, il laisse derrière lui une énorme cuvette appelée caldeira. Or, ces cratères sont si gros que nous avons tendance à ne pas les remarquer. Le géophysicien Bob Smith a décrit la caldeira de Yellowstone, large de 72 km, ainsi : « Ses dimensions sont si importantes que les gens n’en comprennent pas la taille. »

Faire tout le contraire

L’excursion dans le désert peut sembler intimidante, mais pour les adeptes de plein air, cela ne fait qu’accroître son attrait. Comme les randonneurs ont besoin de plus d’eau qu’ils ne peuvent en transporter, ils achètent des bouteilles avec filtre intégré pour puiser aux sources d’eau chemin faisant. Reste que l’utilisation de tels contenants semble paradoxale. Même si l’on renverse la bouteille, pas une seule goutte n’en coule. Le randonneur assoiffé doit souffler dans la bouteille pour forcer l’eau à traverser le filtre. La réalité est donc contraire à ce qui semble naturel.

Non aux étrangers

Dans la région éloignée du Ghana où je vivais enfant, il n’était pas rare d’entendre un certain proverbe : « À l’heure du repas, point d’ami. » Les gens de l’endroit jugeaient impoli de se présenter chez quelqu’un à l’heure du repas, car la nourriture était souvent rare. Cette maxime s’appliquait tant aux voisins qu’aux étrangers.

Lapereaux

Notre fils de six ans ne vit que par le credo suivant : ne jamais, au grand jamais, s’ennuyer !